Hé oui, dernier jour!
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Nuit pénible car mon habitation avait un toit en tôle et pas de plafond. Comme il avait plu, les feuilles se sont déchargées progressivement de l’eau récoltée tout au long de la nuit et sur un rythme aléatoire histoire de garder du suspens quant à la musique engendrée par la chute de l’eau sur les tôles du toit!…
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Ce matin une dernière visite est consacrée au Parc National Carara. Arrivés,. surprise, les billets ne peuvent s’acheter qu’en ligne or, le réseau ici est très mauvais, le site mobile est un horreur dee lenteur avec dees « captcha » incessant, il faut créer un compte, attendre la réception d’un mail de validation (qui jamais n’arrivera) puis enfin acheter un billet. À force d’insistance, Félix réussit à convaincre l’employer sur place de faire la manip sur son ordi pour me permettre de payer…et tout est plié en moins de 5mn.
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Le parc est intéressant mais nous voyons peu d’oiseaux, seules rencontres notables, une colombe rouviolette, des troglodytes, un couple de trogon aurore et une paruline à croupion jaune. Nous verrons également un coati et un aguti.
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Ensuite repas puis déambulation au hasard pour rejoindre San José, ses embouteillages et son aéroport. En route, nous verrons également un faucon des chauves souris et un ermite à longue queue. À noter également un pont sur un río sur les berges duquel une troupe de crocodiles prend le soleil.. Lieu bien connu vu le nombre de touristes présents.
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Ici s’arrête ce journal de voyage dans un Costa Rica chaud, pour moi ensoleillé, avec des gens très accueillants, une cuisine simple mais très copieuse (croire trop), une nature omniprésente, pays qui mérite bien plus de 13 jours dee visite.
