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Dernière nuit en Namibie en ce qui concerne ce voyage. Le camping n’accueillait hier soir que 4 voitures! Nuit très calme, levé en douceur et petit déjeuner de même.

Pendant que Paulus vide la voiture pour un grand nettoyage avant de la rendre la compagnie de location demain matin, je pars faire un tour pour essayer de trouver quelques oiseaux et mangoustes à photographier. Côté oiseaux, seuls s’offrent à moi quelques Grey Lauries ainsi qu’un « red brestead simsoncread », je crois que c’est son nom, mais je n’ai pas eu le temps de vérifier, en tout cas il s’agit d’un oiseau de la taille d’un merle noir sur le dessus et avec la poitrine et le ventre d’un rouge éclatant. Je vois également 2 aigles de Verreaux dont l’un tient quelque chose entre ses serres mais il est trop loin pour que je puisse identifier ce que c’est. Je vois également quelques dik-dik, babouins et phacochères.

Ensuite direction la piscine pour buller tranquillement en lisant. Après le repas, en route pour Windhoek et l’aéroport environ 5 heures de route en comptant le temps d’arrêt pour acheter quelques paquets de biltong et un « lipstick » car je commence à avoir les lèvres gercées et cela n’est pas très agréable!

Arrivée l’aéroport sans soucis, je me change rapidement et me présente à l’embarquement à peine 10mn avant son ouverture ce qui me permet de passer dans les premiers et de passer les contrôles de sécurité en dehors de toute affluence!

Voici donc un voyage qui se termine. je le trouve en demi-teinte, j’ai eu la chance de voir de nouveaux animaux (hyène brune, chat sauvage, ratel oryctérope) d’observer des comportements que je n’avais jamais observé ‘attaque d’un aigle martial sur une pintade), vu bien des animaux mais d’autres manquent à l’appel cette année: antilope rouanne, hypotrague et surtout le grand absent encore une fois, le guépard. Côté oiseaux absence totale de rollier et quelques rares guêpiers, par contre aucun de ses oiseaux exotiques à longue queue.

Addendum sur le retour en France:

Mon temps d’escale à Francfort entre l’arrivée du vol de Windhoek et le départ de mon vol vers Paris étant très court, je craignais de manquer de temps et de louper le départ. heureusement nous sommes arrivés avec 25mn d’avance sur l’horaire et donc j’ai pu attraper mon dernier avion sans problème.

Cela s’est gâté à l’arrivée à Charles De Gaulle pour rejoindre mon parking via le tram automatique de l’aéroport (CDGVAL).

Une fois dans la navette CDGVAL, le train est parti a fait une première station, a redémarré puis s’est arrêté au niveau de nulle part pour revenir au début de la ligne: « bagage abandonné sur la ligne, service interrompu. Un service de substitution par car est mis en place » nous dit l’annonce aux hauts parleurs. Sauf que aucune indication d’où prendre ces cars de substitutions. On finit par trouver 2 personnes de l’aéroport qui nous disent que c’est en porte 8… on retourne à l’aérogare, pas de porte 8… ben non parce que la gare CDGVAL est au niveau 2 et la porte 8 au niveau 1! D’ailleurs ce n’était pas la porte 8 mais la porte 10D, et puis ce n’était pas un service de substitution mais la version normale de BUS CDGVAL!

Vu le monde il a fallut attendre un 2ème bus pour que je puisse monter et c’est parti pour le grand tour des terminaux et aérogares de CdG en plein dans la circulation, au bout d’une heure me voici arrivé au parking Px et là, des gens (touristes chinois apparemment) qui étaient montés au terminal 2 refusent de descendre temporairement du bus pour me laisser passer pour que je puisse descendre, à force de leur dire « descendez pour que je puisse sortir vous remonterez dans le bus après » en Français et puis en Anglais, 2 décident enfin de descendre mais laissent leurs valises qui prenaient toute la place et impossible de les leur faire bouger alors qu’ils voyaient bien que je ne pouvais pas passer (grosses valises) ! J’ai été obligé de descendre moi même ces valises pour enfin pouvoir m’extraire du bus…qui m’avait laissé à 200m du parking PX … ouff…grrr… Moralité, plus de 1,5 heure pour retrouver ma voiture!

Le lendemain j’ai eu des échanges avec la directrice de Damarana Safari sur mes impressions de voyages et les dysfonctionnements ou imprécisions que j’avais constatés. Elle m’a apporter un certain nombre de précisions qui ont clarifié, confirmé ou infirmé certains ponts que j’avais remonté. S’étant aperçue que certaines erreurs s’étaient glissées dans le devis, elle m’a spontanément proposer un remboursement qui a été réalisé le lendemain ; chapeau!