Au début de la nuit nous avons été de nouveau bercés par les vocalises des hyènes et par les coups de trompettes d’éléphants visiblement en conflit. La fin de la nuit s’est annoncée par une redite de la chanson des calao terrestres. Lever un peu moins matinal, 6h00, petit déjeuner agrémenté de quelques grognements de léopard et de cris d’impalas.
Départ en safari, d’abord pour essayer de trouver le léopard mais vu l’environnement peu de chance. Nous rencontrons quand même quelques koudous. 10 minutes après être partis je m’aperçois que j’ai oublié mon gilet dans lequel se trouve papiers, argents et cartes de crédits.
Même si le camp est isolé et bien camouflé et comme on est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise retour sur le camp pour réparer cet oubli.
De toute manière nous devions repassé à proximité pour aller vers notre objectif de la matinée, un point d’eau ou nous espérons voir plus d’animaux que la veille. Espoir déçu! Au final cette matinée nous a, ura permis de voir en plus des koudous, une girafe, des impalas, un rollier varié, des tourterelles masquées, un serpentaire gymnogène , un rapace qui ressemble un peu au vautour gymnogène mais en gris et qui se nourrit d’oiseaux (du plus petit jusqu’au héron), d’œufs, de grenouilles, de serpents et de petits mammifères, ouf!
Retour au camp pour les habituels repas et sieste. J’en profite pour préparer mon matériel pour tenter de faire des photos du ciel nocturne si les nuages veulent bien s’évaluer car le ciel est assez nuageux depuis notre arrivée.
Le safari de l’après midi nous offre un aigle pomarin, une huppe africaine, un guêpier à queue d’aronde et un couple de francolins à bec rouge.
Ce dernier safari n’aura donc pas été un point culminant du séjour.
Retour au camp pour douche, dîner, photos nocturnes si Dieu le veut (et surtout les nuages). Demain départ vers un nouveau camp, une bonne parie de la journée sera consacrée au trajet.